L'affaire serait simple si elle n'était qu'une concurrence de deux géants. Or, ce combat de David contre Goliath capte la presse, les cinéphiles et les professionnels du cinéma, car les enjeux sont beaucoup plus tendencieux qu'il n'y paraît. Le Méliès est une salle d'art et d'essai, soutenue financièrement par la commune, et souhaite s'accomoder de trois salles supplémentaires. UGC accuse de « concurrence déloyale », pointant du doigt les « 30% » de films en communs que les salles diffuses, aidées par les fonds publics. Méliès dément les chiffres, en intégrant les séances scolaires. Mais plus qu'un conflit économique, c'est véritablement un cinéma à deux vitesees qui est ici illustré. Or, les salles UGC projettent elles-aussi des films d'auteurs (et recoivent des aident ce pour). Interviennent aussi les élections municipales, le maire est accusé de soutenir le projet de trois salles supplémentaire dans un soucis de stratégie politique, et se donner des qualités de défenseur socio-culturel.
Les gros s'attaquent aux petits, immédiatement l'association Renc'art s'est mobilisée pour défendre le cinéma Mèlies. Des pétitions ont tournés. Contestées, elles aussi, car l'argumantaire auraient changés en cours de route, sans en référer aux signataires. Méliès est aussi soutenu par de nombreux cinéastes, français (Klapisch, Ozon) et hors hexagone (Dardenne, Kiarostami, David Lynch).
Ceci n'est pas le premier conflit entre gros complexes et cinémas indépendants. L'attitude de l'UGC à Lyon contre le Comoedia est identique. Notons aussi que le fort déséquilibre est produite par UGC et sa « carte illimité » quasiment inconcurrenciable.
Les gros s'attaquent aux petits, immédiatement l'association Renc'art s'est mobilisée pour défendre le cinéma Mèlies. Des pétitions ont tournés. Contestées, elles aussi, car l'argumantaire auraient changés en cours de route, sans en référer aux signataires. Méliès est aussi soutenu par de nombreux cinéastes, français (Klapisch, Ozon) et hors hexagone (Dardenne, Kiarostami, David Lynch).
Ceci n'est pas le premier conflit entre gros complexes et cinémas indépendants. L'attitude de l'UGC à Lyon contre le Comoedia est identique. Notons aussi que le fort déséquilibre est produite par UGC et sa « carte illimité » quasiment inconcurrenciable.